Cet après-midi, le Canada et le Mexique s’affrontaient avec l’enjeu de passer au prochain niveau de la Classique mondiale. C’était un bon défi pour le Canada… surtout sans Freddie Freeman.
Mais clairement, le Mexique était trop fort. Cela s’est terminé au compte de 10-3, ce qui a sonné le glas de la formation canadienne.
À moins que la Colombie gagne contre les Américains dans un énorme festival offensif… mais c’est peu probable.
Ce qui a notamment coulé le Canada, c’est la prestation de Randy Arozarena. Le voltigeur, qui a profité des buts sur balles intentionnels d’Austin Barnes, a placé deux fois la balle en lieu sûr, bon pour cinq points produits.
Du lot? Un circuit et un double de trois points.
Le double a été marquant puisqu’à ce moment-là, la marque était de 3-2. Mais en vertu du coup sûr, c’est devenu 6-2.
Et à partir de là, le Mexique n’a jamais regardé derrière.
C’est donc (vraisemblablement) la fin pour le Canada. Et durant ces matchs-là, les Québécois du club ont bien paru. Édouard Julien, Abraham Toro, Otto Lopez et Phillippe Aumont ont fait le travail qui leur était demandé, ce qui est idéal.
Ils ont beaucoup appris pour la suite de leur carrière. Je parle évidemment des joueurs de positions puisque Aumont retournera sur sa ferme à Gatineau.
On va suivre la ronde des médailles, qui sera très relevée, en sachant que le Canada a quand même fait du mieux qu’il pouvait. Et compte tenu des attentes, ce n’est pas négatif du tout.
- Vladimir Guerrero Jr. est allé encourager ses coéquipiers dominicains.
- Bo Naylor a appris de Russell Martin.
- Freddie Freeman, qui n’a pas joué aujourd’hui, devrait commencer la saison des Dodgers à temps.
